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Connaissance de Soi et art de vivre

L’énergie noire ou “quintessence”

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L’énergie noire

L’énergie noire de la cosmologie a été déclarée découverte scientifique de l’année 2004. La presse (Associated Press) en a parlé comme “la matière non-manifestée de l’univers”. Elle a bouleversé notre compréhension de la création qui maintenant se rapproche de plus en plus de la description donnée par les Védas, textes ancestraux de l’Inde ancienne. 

Tout comme pour la découverte du Champ Unifié de la physique quantique, Maharishi a déclaré que la cosmologie avait touché le but en découvrant ainsi la totalité de la création

Voici un résumé de quelques notes prises lors d’une conférence du Dr. John Hagelin (Note 1) parue en mi-Février 2004, qui nous permet de faire la lumière sur cette découverte fondamentale et son application humaine (agrémenté de quelques articles scientifiques).

Nous nous souvenons tous de conférences de Maharishi se référant à “l’univers en constante expansion” (the ever expanding universe). Il nous a souvent rappelé la valeur du transcendant : “La vie est un quart manifestée et trois quarts non-manifestée. Respectez les proportions.”

Dans sa conférence le Dr. Hagelin explique cette découverte scientifique à travers les textes du Véda qui illustrent le parallèle entre la cosmologie et la Science Védique de Maharishi.


Une introduction scientifique

La quintessence serait l’énergie du vide… (Note 2)
Nous approchons d’une révélation. 
En plus des quatre éléments (la terre, l’eau, l’air et le feu) dont notre monde d’ici-bas était constitué, Aristote postulait l’existence d’une quintessence, le cinquième élément, substance impalpable et d’une extrême pureté qui composait la fabrique du ciel. On sait comment la doctrine des quatre éléments s’effondra définitivement au XVIIIe siècle pour faire place à la théorie chimique moderne. Malgré quelques avatars (par exemple, la matière subtile des tourbillons de Descartes ou l’éther des physiciens du XIXe siècle), le concept de quintessence s’efface dès la fin du XVIIe pour faire place à la notion de vide.

Or voilà que la quintessence resurgit dans certaines théories cosmologiques modernes. Il va de soi qu’il ne s’agit pas d’un retour aux conceptions aristotéliciennes mais au contraire d’un concept nouveau et plutôt déroutant. 

Voici quel est le problème. Comme on le sait, l’Univers est en expansion. Connaissant la vitesse de récession des galaxies, on peut en remontant le temps donner à l’Univers un âge de 10 à 12 milliards d’années. Malheureusement, les plus vieux objets célestes connus ont un âge de l’ordre de 15 milliards d’années. On en déduit que la vitesse d’expansion a très probablement varié au cours du temps et on suppose que quelque temps après le Big Bang, l’Univers a connu une phase d’expansion explosive. Hélas, cette hypothèse séduisante par son élégance ne repose sur aucune preuve directe et suppose une extrapolation hardie des lois de la physique telles que nous les connaissons. 

D’autre part, si la gravitation universelle était seule à l’œuvre, l’Univers devrait s’effondrer sur lui-même. On peut donc imaginer qu’une force répulsive s’oppose à cet effondrement et continue à entretenir le mouvement d’expansion…


 Autre extrait d’article : Le panorama de la Cosmologie a connu récemment un profond bouleversement avec la mise en évidence d’une phase d’accélération de l’expansion de l’univers, et non une décélération sous l’effet de la gravitation comme on aurait pu s’y attendre. Cette observation nous conduit ainsi à un nouveau paradigme : la dynamique de l’univers est dominée par celle du vide… (Note 3)


Cosmologie 

Notre planète terre se trouve parmi des milliards de galaxies et des milliers de milliards de systèmes solaires

La cosmologie est cette science qui étudie la vie et le développement de notre univers. Dans les années 20, Einstein dans sa théorie de la relativité a posé les bases de la gravité ayant la capacité d’attirer et également de repousser. Cette dernière propriété était vue par la plupart des physiciens comme faisant partie de la théorie mais ne rendant pas compte de l’observation directe. La gravité était tenue responsable du ralentissement de l’expansion de l’univers. Mais les études récentes et la découverte de l’énergie noire ont montré que contrairement au paradigme utilisé jusqu’alors, l’univers n’est pas en train de refroidir et ralentir son expansion mais bien de la continuer.

C’est l’énergie noire appelée également « Quintessence », « énergie du vide » ou « énergie transcendantale » qui possède cette capacité de repousser la matière.
Cette énergie noire est un champ non-manifesté de fluctuations donnant naissance au champ de matière. Après analyse elle représente la plus grande partie de l’univers qui est composé de :

– 4% de matière ordinaire (particules qui interagissent entre elles, telles que protons, électrons, etc.)
– 23% de matière noire (particules qui n’interagissent pas, telles que neutrinos, gravitinos)
– 73% d’énergie noire, énergie non manifestée, fluctuations de l’état de vide.

Ceci signifie que l’univers est formé de 27% de matière (matière ordinaire et matière noire : étoiles, protons, électrons, etc) et 73% d’énergie non manifestée, l’énergie noire ou quintessence.

Dans le Rk Veda, Mandala 10, Sukta 90, Vers 3, la réalité de la vie est décrite de la même façon en terme de Purusha :

3/4 est non-manifesté, immortel, 1/4 est manifesté

Purusha Sukta


La Science védique : du point à l’infini

Maharishi a toujours expliqué que la vie se manifeste du point à l’infini. Il se réfère fréquemment à “l’univers en expansion constante”.

 univers

L’expansion initiale de l’univers s’est effectuée dans la première fraction de seconde de sa création : le Big Bang suivi d’une période d’expansion d’une taille 10100 plus grande et en 10-43 seconde la matière de l’univers est créée, c’est la période de “l’inflation”. Cette création est suivie par une période de lumière émanant des premières galaxies (Big Bang +300 000 années). Jusqu’à nos jours, 15 milliards d’années plus tard l’univers est toujours en expansion accélérée.

L’univers est donc créé et se développe à partir d’une impulsion du non-manifesté.
Maharishi a souvent expliqué que les les histoires tirées des Pouranas (cette partie de la littérature védique qui met en scène dieux, démons, héros, etc.) sont une illustration précise du fonctionnement de la conscience, le fondement de la vie humaine et cosmique.

Dans la description védique de la création, l’univers est créé par Brahma. Celui-ci essaie à trois reprises de générer la création, sans succès. Il entend alors deux syllabes qui lui sont murmurées “Ta-pa”. Ce qui signifie va au transcendant. Et c’est la recette de la réussite. Il médite et après cela chaque pensée projetée à partir de ce niveau de silence de sa conscience se matérialise et la totalité de la création émerge.


L’état de vide

Les fluctuations du non-manifesté sont les Vrittis de l’Atma, les impulsions du Soi. L’état de vide quantique n’est pas vide : il est plein de toutes les fluctuations. Il est la coexistence de toutes les formes possibles du champ. Ces fluctuations ne sont pas un vague concept mais peuvent être définies de façon précise par des équations mathématiques.

Cet état de vide quantique est éternel, dynamisme infini de toutes possibilités, silencieux, unique.
C’est l’Atma, la coexistence des opposés, le silence et le dynamisme.

Dans les Upanishads, un Rishi (cad un connaisseur de la réalité ultime) enseigne à son fils comment une graine de Banyan contient dans sa coque vide la totalité de l’arbre qui va en sortir, les feuilles, les fruits, les branches, etc.

Il en est de même dans le Véda : Vishwa émerge des smritis de l’Atma. L’univers émerge de la mémoire de l’état de vide silencieux.
“Anoraniyan, Mahatomahiyan”: Ce qui est plus petit que le plus petit est plus grand que le plus grand. – Les fluctuations non-manifestées de l’univers en expansion. 
La pensée délicate (softest thinking) est la maîtrise des Vrittis de l’Atma, les impulsions du Soi.


L’éducation fondée sur le dévelopment de la conscience

Tad dure Tad antike – Ce qui est distant est également à l’intérieur (Isha Upanishad).

La nécessité d’une éducation optimisant le fonctionnement cérébral se fait de plus en plus ressentir car il faut actualiser cette connaissance de l’infini (Note 4). C’est de cette façon que l’individu pourra faire l’expérience de la totalité de la vie dans sa propre conscience.
« Aham Brahmasmi » – Je suis la Totalité (Brihad Aranyaka Upanishad 1.4.10).

Un être humain est une partie de la totalité que nous nommons “univers”, une partie limitée dans le temps et l’espace. Il s’expérimente -ses pensées et sentiments- comme une entité séparée du reste, ce qui est une illusion d’optique de la conscience. Cette illusion est une sorte de prison qui nous restreint à des désirs personnels et à une affection limitée aux quelques personnes de notre entourage. Notre devoir en tant qu’être humain est de nous libérer de cette prison en élargissant notre compassion jusqu’à inclure toutes les créatures vivantes ainsi que la nature dans sa beauté et sa totalité.  -Albert Einstein

Maharishi: “La constitution de l’univers est la relation entre le point et l’infini. Ceci est la constitution de l’univers. Ceci est intelligence. C’est l’ordre invincible.”

L’éducation védique est l’éducation fondée sur la conscience.
Et l’éducation fondée sur la conscience se fait par l’Être non par l’étude intellectuelle. C’est l’offre de connaissance totale faite par Maharishi  au monde moderne (Note 5).

C’est pourquoi dans ses conférences de presse Maharishi insiste tant sur la valeur de la pensée délicate (softest thinking), cette capacité d’utiliser l’esprit à partir de l’état de l’Être : “Ainsi ce qui manque dans le système d’éducation actuel est l’Être. L’Art d’Être. La science de l’Être et l’art de vivre. J’ai écrit cela il y a de nombreuses années. Mais l’important ici n’est pas dans la lecture. Aujourd’hui je déclare que lire est une perte de temps. Être, c’est vivre la perfection… Il y a la vie exemplaire d’hommes et femmes célèbres. Tout cela est bien. Mais pour vraiment vivre cette réalité qui commande tout l’univers la connaissance intellectuelle est inutile. Cela ne peut se réaliser que par l’Être. Et par l’éducation védique ceci est accompli de façon plus simple, plus complète et plus rapide.”


Note 1
Le Dr Hagelin a travaillé en tant que physicien au Stanford Research Institute (USA) et au CERN –Centre d’Etudes et Recherche Nucléaire- de Genève, deux des instituts de physique quantique les plus renommés.

http://istpp.org


Note 2
4 -Juin 2001 -Bulletin trimestriel d’informations du CCST Muséum d’histoire naturelle de La Rochelle

La quintessence serait l’énergie du vide…
Nous approchons d’une révélation. 
En plus des quatre éléments (la terre, l’eau, l’air et le feu) dont notre monde d’ici- bas était constitué, Aristote postulait l’existence d’une quintessence, le cinquième élément, substance impalpable et d’une extrême pureté qui composait la fabrique du ciel. On sait comment la doctrine des quatre éléments s’effondra définitivement au XVIIIe siècle pour faire place à la théorie chimique moderne. Malgré quelques avatars (par exemple, la matière subtile des tourbillons de Descartes ou l’éther des physiciens du XIXe siècle), le concept de quintessence s’efface dés la fin du XVlle pour faire place à la notion de vide.

Or voilà que la quintessence resurgit dans certaines théories cosmologiques modernes. Il va de soi qu’il ne s’agit pas d’un retour aux conceptions aristotéliciennes mais au contraire d’un concept nouveau et plutôt déroutant. 

Voici quel est le problème. Comme on le sait, l’Univers est en expansion. Connaissant la vitesse de récession des galaxies, on peut en remontant le temps donner à l’Univers un âge de 10 à 12 milliards d’années. Malheureusement, les plus vieux objets célestes connus ont un âge de l’ordre de 15 milliards d’années. On en déduit que la vitesse d’expansion a très probablement varié au cours du temps et on suppose que quelque temps aprés le Big Bang, l’Univers a connu une phase d’expansion explosive. Hélas, cette hypothèse séduisante pas son élégance ne repose sur aucune preuve directe et suppose une extrapolation hardie des lois de la physique telles que nous les connaissons. 

D’autre part, si la gravitation universelle était seule à l’oeuvre, l’Univers devrait s’effondrer sur lui-même. On peut donc imaginer qu’une force répulsive s’oppose à cet effondrement et continue à entretenir le mouvement d’expansion.

D’où l’hypothèse de l’existence d’une quintessence, imaginée par une équipe de Princeton (entre autres), champ hypothétique qui agirait à l’inverse du champ gravitationnel. 

Quel sera l’avenir de cette nouvelle théorie ? Personne ne peut le prédire à l’heure actuelle. Mais les observations du satellite MAP (dont la mission est d’étudier le rayonnement diffus témoin du Big Bang et qui devrait être mis sur orbite en juillet 2001) pourraient, qui sait, apporter des preuves indirectes de l’existence de la quintessence. En tout cas, il est plus que probable qu’à l’aube du XXIe siècle, il faille s’attendre à quelques modifications importantes des théories cosmologiques, peut- être aussi radicales que celle que connut l’astronomie après Copernic ou la physique après Aristote. 

Jacques Vialle,
consultant scientifique du CCST. 


Note 3
VI ème ÉCOLE DE COSMOLOGIE MARSEILLE 
Dates : 16 – 21 Septembre 2002 
Lieu : Centre International de Rencontres Mathématiques (Luminy, Marseille)
Thème : Matière noire et énergie noire dans l’univers 

Situation scientifique : Aujourd’hui, la matière noire et l’énergie noire sont des problèmes fondamentaux pour la cosmologie. Ces problèmes, qui se trouvent à la frontière entre l’astrophysique et la physique des particules, intéressent les communautés scientifiques liées à l’astronomie et à la physique fondamentale.

Le panorama de la Cosmologie a connu récemment un profond bouleversement avec la mise en évidence d’une phase d’accélération de l’expansion de l’univers, et non une décélération sous l’effet de la gravitation comme on aurait pu s’y attendre. Cette observation nous conduit ainsi à un nouveau paradigme : la dynamique de l’univers est dominée par celle du vide. La raison de cette accélération est lié à un problème de nature fondamentale (énergie noire), et son interprétation donnera des contraintes aux théories alternatives à la relativité générale et aux candidats à l’énergie noire (Quintessence,..). D’autre part, l’interprétation de la masse (matière noire) qui manque pour rendre compte de certaines observations (courbes de rotation des galaxies spirales, vitesses des galaxies dans les amas,…) est aussi un problème qui suscite un vif intérêt, tant d’un point de vue de sa mise en évidence astrophysique (halos de galaxies, masse des amas, lensing, microlensing,..) que sur son interprétation (machos, WIMPs, neutrino massif, neutralinos,..).

Dans un futur proche, l’analyse des fluctuations du CMB (Boomerang, Maxima, Planck.), le diagramme de Hubble pour les supernova, les comptages de galaxies ou d’amas et le lensing par les grandes structures (megacam, XMM, CHANDRA, Snap, VLT…) permettra de déterminer au mieux les paramètres cosmologiques et les différentes contributions à la matière (énergie) dans l’univers. L’analyse des nouvelles données (XMM-LSS, Sloan, Virmos,..) sera d’autant plus efficace que ces deux aspects seront menés de concert. En attente des résultats du LHC, les futurs progrès en cosmologie et en astro-particule pourront nous éclairer sur les lois fondamentales de la nature. Il est donc opportun que la communauté s’intéresse à la fois à la physique qui a emmène au big-bang (cosmologie quantique, extra-dimensions, M-theory,..) qu’aux observations astrophysiques.

Les thématiques envisagées dans le programme de cette école concernent l’estimation des paramètres cosmologiques, la mise en évidences astrophysique de la matière noire et son origine, les théories du Big Bang et l’interprétation de la répulsion du vide.


Note 4
« Toutes les religions, les arts et les sciences sont les branches d’un même arbre. Toutes ces aspirations ont pour but d’ennoblir la vie humaine, de l’élever de la sphère de l’existence physique et de guider l’individu vers la liberté. » -Albert Einstein


Note 5
Connaître et être – Conférence du 31.12.03
Maharishi : …être ce que l’on est déjà est beaucoup plus facile. Être ce que l’on est, est naturel, plus facile, complet – plutôt que de connaître par le haut, par le bas, par la droite, la gauche.
Il y a tellement de disciplines pour connaître et il suffit d’un seul plongeon pour être.
Le système d’éducation actuel basé sur la lecture de livres est une perte de temps. C’est se perdre dans les couloirs des différents champs de connaissance. Cela revient à perdre son temps dans les vagues alors que d’un autre côté on peut profiter de la totalité de l’océan d’où toutes les vagues émergent.

Tout le domaine du comportement, tout le domaine de l’action prennent leur origine dans ce champ qu’est l’état auto-référent de l’Être. Le mot “champ unifié” est une possibilité de le décrire même s’il ne contient pas cette valeur de totalité. Cette totalité est contenue dans l’Atma, dans un mot : “A”.

…C’est une autre chose que de connaître à partir de l’Être, en étant Cela. C’est la connaissance connue à son propre niveau. Rien ne pourra atteindre Cela. L’esprit doit être Cela uniquement. Et alors l’esprit est Cela.

Ainsi ce qui manque dans le système d’éducation actuel est l’Être. L’art d’Être. La science de l’Être et l’art de vivre. J’ai écrit cela il y a de nombreuses années. Mais l’important ici n’est pas dans la lecture. Aujourd’hui je déclare que lire est une perte de temps. Être c’est vivre la perfection…

Vous pouvez lire des livres, en écrire. Vous pouvez en parler. Mais son existence, ce qui l’actualise dans votre propre existence quotidienne c’est être Cela. Et l’Être est réalisé à travers l’éducation…

Il y a la vie exemplaire d’hommes et femmes célèbres. Tout cela est bien. Mais pour vraiment vivre cette réalité qui commande tout l’univers la connaissance intellectuelle est inutile. Cela ne peut se réaliser que par l’Être. Et par l’éducation védique ceci est accompli de façon plus simple, plus complète et plus rapide…

                                                                                                                                                                                                          

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Auteur : AVM Sud-Est

Connaissance de Soi et art de vivre : la science védique de Maharishi

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